Ce phénomène le bouleversa. Il comprit que le catalyseur n'était pas un désinvolte vestige ; c'est un portail, une passerelle entre son ère et celle qu'il avait entrevue en question mail avec photo. Mais comment interagir avec cet avenir ? Comment connaître les indisposition d'un univers qui dépassait tout ce qu'il connaissait ? Il décida d'obtenir des justifications dans un endroit qu'il avait jusqu'à maintenant évité : une bibliothèque jésuite située à de multiples kilomètres de Saint-Clair. Ce centre était reconnu pour abriter des éléments de grand prix et à bannir, accumulés au fil des siècles. alphonse savait que les secrets qui en avaient la conserve étaient méfiants envers les chercheurs indépendants, mais il n'avait pas d'autre décisions. S'il aimerait évoluer, il devait avoir accès à ces connaissances oubliées. Après 10 jours de voyage à cheval, il arriva amenées à l'imposante bâtisse en pierre. La bibliothèque était enveloppée d'une manifestation de gravité, avec ses hautes fenêtres étroites et ses maubeuge qui semblaient accompagner les alentours. Il frappa à la porte en visée massif, et un vieil homme en robe noire l'accueillit avec une froide courtoisie. pierre expliqua qu'il était un érudit fouillant les manuscrits séculaires et qu'il voulait consulter leurs archives. Après un long moment de silence, le vieil homme acquiesça, mais pas avant de mettre une collection de interrogations visant à voir ses objectifs. Une fois convaincu de sa passion, il le conduisit dans une amphi obscure où des étagères considérables s'étendaient à tort de répandue. alphonse passa une éternité à fustiger les rayonnages. Il trouva des dossiers sur l'alchimie, la métaphysique et des récits de voyages surnaturels. Mais ce fut un petit présente en cuir sinistre, rangé à l'écart, qui attira son méditation. Intitulé Des Portes du Temps, il semblait englober des récits de phénomènes similaires à les gens qu'il avait professionnels. En parcourant les pages, il découvrit une caricature frappante : un artefact rond capable de capturer et concevoir les flux temporels de question mail 24h. Les inscriptions qui accompagnaient le texte ressemblaient étrangement au catalyseur qu'il possédait.
alphonse delacroix sentait le poids du hublot s’épaissir autour de lui. Les découvertes qu’il avait faites à la bibliothèque jésuite n’étaient qu’un rang du début, un fil ténu conduisant à un raccourci de questions sans suite. Chaque soir, lorsqu’il s’asseyait dans son bureau faiblement éclairé, il voyait les extraits de ses périodes s’assembler lentement, mais le métaphore d’ensemble demeurait insaisissable. Un matin, alors que le brouillard couvrait encore les paysages de Saint-Clair, alphonse se rendit à la grotte où il avait trouvé le catalyseur. Il était persuadé que ce question renfermait d’autres secrets, par contre même des énigmes enfouis qui compléteraient le puzzle. Avec une lampe à huile et une sacoche comportant ses instruments de poésie, il pénétra dans la pénombre fraîche et silencieuse de la caverne. Les parois de la grotte, humides et couvertes de mousse, semblaient vibrer d’une énergie subtile. alphonse remarqua des gravures qu’il n’avait pas vues lors de sa la première visite. Elles étaient rudimentaires, mais certaines formes de question par e-mail ressemblaient étrangement aux icônes inscrits sur le catalyseur. Il sortit un carnet de sa sacoche et commença à les tracter attentivement, s’efforçant de ne pas omettre le moindre détail. Alors qu’il s’enfonçait plus puissamment dans la grotte, un phénomène étrange se produisit. L’air devint plus dense, presque palpable, et un bas bourdonnement emplit l’espace. alphonse s’arrêta net, sa lampe tremblant légèrement dans sa majeur. Ce bourdonnement semblait provenir de la roche elle-même, notamment si la grotte résonnait à une régularité imperceptible à l’oreille humaine. Il posa sa lampe sur une pierre et sortit le catalyseur de sa sacoche. Lorsqu’il le tint amenées à lui, l’artefact sembla agir, émettant une légère lumiere bleutée. pierre sentit un frisson cravacher son échine. Il savait qu’il était sur le rayon de franchir un barrière, mais il ignorait ce qui l’attendait de l’autre côté.
Il réalisa tandis que son immixtion avec le catalyseur n’était pas sans réponse. Les fractures temporelles mentionnées dans le concède qu’il avait trouvé à la bibliothèque jésuite prenaient désormais un effet noir. En utilisant ces dons, il risquait de perturber l’équilibre entre les ages. Mais il était immensément entrepris pour reculer. La rendez-vous de katleen voyance l’appelait, et il sentait que sa exploration touchait une variable contraction. alphonse décida de se élucubrer pour une autre consultation téléphonique, mais cette fois, il désirait inciter l’exploration davantage loin. Il commença à ordonnancer un système autour du catalyseur, utilisant des pièces mécaniques et des cristaux qu’il avait collectés au cours des siècles. Ce instrument, qu’il appela l’amplificateur, avait pour abruptement d’intensifier les connexions entre ses voyance olivier énergies et les flux temporels. Alors qu’il travaillait au quotidien sur cette invention, il sentait une tension grandissante dans l’air, par exemple si l’univers lui-même retenait son spectre. Chaque vis qu’il serrait, chaque incorporant qu’il ajoutait semblait le relier d’un moment de bascule, une variable où toutes ses hypothèses seraient mises à l’épreuve. Il savait qu’il jouait avec des qualités qu’il ne maîtrisait pas pleinement, mais il était prêt à tolérer les effets secondaires. Car au dessus de la inquiétude, il y avait la de fiançailles d’une flagrance ultimatif. La nuit où il finalisa l’amplificateur question email, une tempête éclata sur Saint-Clair. Les éclairs illuminaient les paysages, et le vent hurlait à travers les rues désertes du village. alphonse, dans son laboratoire, sentit une étrange synchronisation entre le fouillis extérieur et l’énergie qui émanait de son outil. Le moment était venu.